Vendredi
Vendredi 21 mai
Je ne me suis plus pesée depuis deux jours. Bon, il va falloir que je voie ça chez mon voisin ce soir !
Mardi, nous avons passé la matinée dans les calanques. Mercredi, j’étais dans un état d’épuisement atroce : je n’ai pu émerger du lit qu’en fin de soirée.
Jeudi, sortie accrobranche avec les 3 derniers, en groupe avec d’autres enfants de ma paroisse. Toujours, du poisson fumé le matin, avec du jambon allégé. Pareil à midi pour le pique-nique, avec un sachet de jeunes pouses vertes mélangées. Piquantes, tellement relevées par elle-même que ne pas les assaisonner n’est pas un souci. Je retrouve une des jeunes femmes qui poursuit ce régime depuis la mi-avril. Ma nuit a été très mauvaise, je ressens des énervements et j’ai de nouveau eu cette violente surchauffe cutanée, principalement au niveau du ventre, mais aussi en « ceinture », sous les seins, etc…
Elle me demande si je prends des vitamines, des oligo-éléments. Euh…non. Indispensable, me rappelle-t-elle. Soit, je passerais à la pharmacie demain.
Pour le goûter, j’opte pour ce fameux coca-light qui est autorisé. Dans les minutes qui suivent, le malaise commence : je me sens toute énervée, je suis en nétat de stress intense et des bouffées d’agressivité m’envahissent. Suffisamant inhabituel chez moi pour que cela m’interpelle ! Cela ressemble à ce que j(ai ressenti lorsqu’enceinte de ma 3ème et hopitalisée en endocrino, j’avais fait un malaise en présnece du directeur du service qui a mis des mots qur ce que je ressentais et m’a donné une explication : violente hypoglycémie, le corps est en manque.
Une heure et demi plus tard, je me sens à nouveau mieux. Ce n’est donc pas le manque de sommeil, le manque de vitamines ou le régime qui sont à incriminer, mais bien le coca light. Dont acte.
En rentrant, je m’écroule pendant un peu plus d’une heure, puis, je vaue à mes occupations domestiques et aux photos prises dans la journée jusqu’à…3H20 du matin.
Vraiment, si je veux tenir le coup pendant le déùénagement, il va falloir que je m’astreigne à une hygiène de sommeil plus risonnable.
L’homéo m’a proposé quelque chose pour me déstresser un peu. Entre le déménagement et des soucis familiaux, c’est sûr que mes nerfs sont à rude épreuve.
J’ai beaucoup de pensées négatives, de vagues de stress pendant la journée. La correspondance avec le régime est si marquante que je ne puis éliminer ce facteur-là comme déclencheur. C’est sûr que de passer d’une alimentation relativement bio, coupées de pulsions alimentaires sucrées assez violentes, et avec un « bol » énorme (je me ressert au moins 3 assiettes, au régime Ducan, c’est un choc !
Même si je ne digère pas la viande, il faudrait que j’essaie d’en manger encore.
En tout cas, aujourd’hui, les quantités de nourriture ingérées ont naturellement incroyablement diminué. Je louche toujours un peu vers les aliments absolument interdits qui trône sur la table et se planquent dans les armoires, mais c’est supportable.
J’ai beaucoup bu, hier. Je pense que cela fait vraiment trop de poisson salé et qu’il va falloir que je me calme un peu avec ça.